‘Fouta Tampi’ fait condamner sa fille Thiaba Niang

‘Fouta Tampi’ fait condamner sa fille Thiaba Niang

Pour injures, violences et voies de fait contre sa mère Fatoumata Ndiaye «FoutaTampi», Thiaba Niang a été condamnée hier à 1 mois de prison assorti de sursis par le tribunal d’instance de Dakar.

L’affaire opposant Fatoumata Ndiaye alias « Fouta Tampi » à sa fille Thiaba Niang a été vidée par le tribunal. Les faits pour lesquels la mère a traduite en justice sa fille remontent à un an. Revenant sur ses déclarations, cette dernière avait lors du procès soutenu que sa fille l’avait accusée d’avoir eu une relation adultérine à l’issue de laquelle est née sa petite-sœur etc. La plaignante avait aussi demandé à sa fille d’arrêter d’utiliser son nom.

Agée de 20 ans, Thiaba Niang avait souligné qu’elle n’avait nullement l’intention d’injurier sa mère. À l’en croire, elle voulait juste que celle-ci lui vienne en aide puisqu’elle était en difficultés dans la rue où elle l’avait jetée. «Ce qui m’a mise en colère, c’est que je l’ai vue offrir de l’argent à Wally Seck lors de l’une de ses soirées et à Niang Kharagne Lo aussi. Comme j’étais confrontée à des problèmes, j’ai décidé d’aller à WalfTv puis à Sen Tv pour parler de la situation dans laquelle je me trouvais. C’est après ça que j’ai pris le numéro de Ousmane Tounkara pour m’expliquer dans son live», avait soutenu la prévenue.

Ce n’est pas dans ce seul dossier que la fille de Fatoumata Ndiaye a été condamnée. Il y a aussi une autre affaire de violences et voies de fait qui l’opposait à Maty 3 Pommes et dans laquelle elle a été condamnée hier à 1 mois de prison assorti du sursis.

Les Echos qui donne la nouvelle rappelle que le procureur avait requis 1 mois ferme lors du procès le 19 janvier dernier. Sur les faits, il est ressorti des débats qu’elle avait traité de lesbienne l’ancienne journaliste de Walf. La raison, c’est parce que celle-ci avait parlé du problème qui l’opposait à sa mère Fatoumata Ndiaye sur les réseaux sociaux. La plaignante Maty 3 Pommes, pour défendre ses intérêts, avait constitué Me Abou Abdoul Daff, qui avait déclaré que sa cliente ne demandait pas réparation mais juste que la mise en cause rapporte la preuve de ses allégations qui, dit-il, ont mis en danger son ménage.

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